Tout en évoquant une « émotion très vive », Olivier Véran a lancé un « appel au calme », mercredi, après la mort de Nahel à Nanterre, qui a entraîné dans la nuit des violences urbaines dans la ville et dans d’autres villes d’Île de France. « Nous comprenons la volonté d’avoir des réponses et nous voulons qu’elles puissent être données en toute transparence à mesure que les éléments seront connus », a-t-il également expliqué. Le président de la République « a fait part de son émotion après la mort de ce jeune de 17 ans, il a parlé évidemment de la famille, des amis, des Français », a déclaré le porte-parole du gouvernement à l'issue du Conseil des ministres.